Pourquoi se faire accompagner par un conseil en transmission d’entreprise ?

Un processus de transmission est une longue aventure qui dure en moyenne entre 6 mois et deux ans rythmée par des étapes à respecter…

S’entourer de conseils vous aidera à mettre toutes les chances de votre côté pour la réussite de votre projet de cession ou de reprise d’entreprise, car ces derniers vous apporteront leur expérience, leur expertise et un regard critique mais bienveillant. De plus, la plupart des conseils en transmission d’entreprise interviennent avec une rémunération au succès de l’opération, ce qui limite vos frais en cas d’échec ou d’abandon. Voici quelques situations dans lesquelles un conseil saura se montrer indispensable.

1. Pour trouver la bonne contrepartie

  • Le conseil vous permet « d’avancer masqué » et de ne pas faire part de vos objectifs stratégiques sans connaître les intentions du dirigeant potentiellement vendeur ou acquéreur que nous contactons pour vous, en préservant votre anonymat.
  • Le conseil vous fait gagner du temps en vous faisant bénéficier de son réseau et en rencontrant les cibles pour valider l’intérêt qu’elles représentent pour vous. Ce tamisage vous garantit de n’être impliqué que sur les dossiers vous intéressant réellement.
  • Le conseil crédibilise votre projet face aux vendeurs. S’entourer d’un conseil est souvent considéré comme un gage de sérieux et de professionnalisme ce qui peut favoriser la bonne poursuite des négociations tant par rapport aux acteurs économiques que par rapport aux dirigeants et partenaires des cibles identifiées.

2. Pour vous accompagner lors de la première rencontre

  • Le conseil crédibilise votre démarche si la première approche a été faite en direct par vous-même.
  • Le conseil sera présent pour orienter les échanges et vous aider à récupérer les informations clés, mais aussi pour rythmer et animer la rencontre.
  • Le conseil se chargera de rassembler des éléments d’analyse à l’issue de la première rencontre auprès du dirigeant ou de son expert-comptable.

3. Pour vous aider à analyser en profondeur les chiffres de la société ciblée

  • Le conseil est un professionnel du chiffre : il mène une analyse poussée des données comptables passées, mais prête également une grande attention à la modélisation financière du moyen terme. Quel est le besoin en fonds de roulement, y a-t-il des investissements ou des embauches à prévoir… ?
  • Le conseil porte un regard critique sur le dossier et vous aide à déterminer les zones de risques, qu’ils soient financiers, opérationnels, conjoncturels etc.
  • Le conseil est un spécialiste de l’ingénierie financière liée au montage de reprise et vous guidera aussi dans l’optimisation fiscale de votre schéma de reprise. Il saura aussi valider la faisabilité financière de l’opération en prenant compte de l’apport du repreneur, des ratios bancaires et des garanties exigées par les acteurs financiers.

4. Pour vous épauler dans les négociations

  • Le conseil connaît tous les aspects du processus de transmission, ce qui facilite l’argumentation. Il temporise les discussions et trouve des alternatives.
  • Avant toute réunion, le conseil vous aide à préparer les négociations en déterminant avec vous la stratégie de négociation et en vous fixant des limites. Pendant les négociations, il sert de garde-fou, tout en n’hésitant pas à aborder les sujets sensibles.
  • Le conseil est un tiers, qui travaille dans votre intérêt : il peut s’adresser directement aux conseils de la contrepartie afin de désamorcer certains sujets en amont.

5. Pour mener les audits d’acquisition à vos côtés

  • L’expert-comptable sera en mesure d’auditer les états comptables et financiers, mais également de conduire un audit fiscal, social, juridique, contractuel et organisationnel.
  • Les avocats peuvent intervenir dans le cadre d’un audit fiscal, social, juridique et contractuel.
  • Le repreneur lui-même se charge des aspects humains, commerciaux, opérationnels, techniques et spécifiques.
  • Des cabinets spécialisés pourront intervenir sur des aspects environnementaux ou immobiliers.

6. Pour mener une recherche de financement efficace

  • Le conseil sait ce que les financeurs ont besoin de savoir et rédige pour vous un dossier comprenant toutes les informations clés, pour un gain de temps maximisé. Il sera ensuite à vos côtés lors des rencontres avec les acteurs financiers pour négocier les conditions les plus favorables pour vous et vous aider à décrypter le jargon bancaire.
  • Il anticipe les démarches auprès des acteurs susceptibles de s’intéresser à votre dossier : banques, BPI FRANCE, SIAGI, Capital-investissement, investisseurs privés, crowdfunding… et vous oriente également vers les aides et subventions applicables à votre cas.

7. Pour rédiger ou réviser les actes principaux de votre démarche de transmission :

  • La lettre d’intention formalise l’intérêt et l’offre faite par le repreneur, en déterminant les contours de l’opération : prix, acquisition du fonds de commerce ou des titres, conditions accessoires… le conseil du repreneur peut se charger de la rédaction de l’offre, celui du cédant les rassemble, les compare et dialogue avec le repreneur pour revoir certains points avant de sélectionner avec le cédant la meilleure offre. lien vers « la lettre d’intention »),
  • Le protocole d’accord est signé par les deux parties et les engage irrévocablement, le vendeur à vendre et l’acquéreur à acheter, sous réserve que ce dernier lève les conditions suspensives, notamment d’audit et de financement. Le prix et l’ensemble des conditions accessoires sont définis et acceptés. Lorsque les conditions suspensives auront été levées, un acte réitératif aura pour effet de répéter les termes du protocole et de conclure la vente. lien vers « Le protocole d’accord »),
  • La garantie d’actif et de passif : le vendeur s’engage personnellement, au profit de l’acquéreur, sur la réalité de l’ensemble des actifs et passifs figurant dans les comptes de la société, au jour de la cession, ou mentionnés spécifiquement dans l’acte de garantie. La GAP est signée par le vendeur au profit de l’acquéreur et est systématiquement exigée. lien vers « La garantie d’actif et de passif »),
  • Le contrat d’accompagnement : Dans l’hypothèse où un accompagnement du dirigeant est indispensable après la cession, les modalités d’accompagnement doivent nécessairement être mises en place et notamment la durée de l’accompagnement et sa rémunération éventuelle.

8. Pour gérer l’intégration post-acquisition

Vous voilà chef d’une nouvelle entreprise ! La mission du conseil ne s’arrête pas à la signature des actes, il peut rester à vos côtés pour vos éviter des erreurs de gestion. La discussion avec divers spécialistes ne pourra que bénéficier à la réussite de votre entreprise.

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